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Métier de traducteur : des débuts complexes

Vous vous intéressez au métier de traducteur ? Vous êtes vous même traducteur depuis peu ? Lisez cet article pour découvrir les débuts compliqués que ce type de carrière peut vous faire connaître.

Le métier de traducteur donne envie

Vous êtes traducteur depuis peu, ou vous souhaitez le devenir. Très bon choix. Vous vous apprêtez à gonfler les rangs de milliers de professionnels de la traduction exerçant en France.

Commercialement parlant, tous les voyants sont au vert :

Dans un rapport LinkedIn Premium de 2019, la traduction fait partie des dix compétences les plus recherchées par les entreprises.

L’évolution du métier de traducteur fait qu’il est plus difficile de s’improviser traducteur sans bagage technique aujourd’hui que c’était le cas il y a quelques années (avec le développement de l’intelligence artificielle).

Face à l’utilisation de la machine pour traduire automatiquement les textes sans fibre créative, les traducteurs de génie sont de plus en plus recherchés pour traduire et recréer des textes parfaits.

Seulement voilà. Les débuts en tant que traducteur sont souvent compliqués. Vous obtenez un contrat par-ci par-là, vous êtes rémunéré au lance-pierre, et vous avez du mal à ficeler une stratégie commerciale gagnante.

Le piège arrive quand le doute s’installe. Avez-vous fait le bon choix ? Le métier de traducteur est-il fait pour vous ? Après tout, vos notes en anglais n’étaient pas si bonnes que ça au bac…

Ne soyez pas inquiet. Comme nous l’avons vu au début de l’article, des milliards de mots sont à votre portée. Il « suffit » de bien s’y prendre.

Quand on est débutant, on a souvent tendance à bomber le torse et à rouler des mécaniques. Puis, la réalité nous rattrape. C’est là qu’on commence à se mettre au travail sérieusement. Croyez-moi, je suis passée par cette phase. Encore aujourd’hui, je traverse des périodes de doutes.

Avant de perdre espoir, lisez ces quelques lignes. Ma main à couper que vous y trouverez de l’intérêt. C’est normal de ne pas être parfait. Dans la vie, il y a des hauts et des bas. Et c’est pareil dans le monde du freelancing.

Si vous avez un jour voulu être traducteur, c’est que ce métier vous passionne et qu’il est fait pour vous. Alors, avant de tenter une autre voie professionnelle (coiffeur, maraîcher bio, opticien), lisez ces conseils et changez de perspective.

métier traducteur

Mes débuts en tant que traductrice freelance

Quand j’ai démarré en tant que traductrice freelance comme vous, je ne partais de rien. J’avais un master de traduction en poche, certes, mais aucune expérience mise à part mon stage. Les agences exigeaient toujours « 2 ans d’expérience minimum » sur leurs sites, ce qui me rendait chèvre.

Heureusement, après plusieurs années dans le domaine de la traduction, j’ai réussi à faire mon trou comme n’importe quel traducteur sérieux, disponible et fiable. Soyez patient.

Premier conseil : Gardez le contact avec votre promo et vos profs

Avant de dire au revoir à ma fac de langues, j’ai participé à une soirée « d’adieu » au restaurant avec quelques camarades de promo. Ce dîner fut mémorable. Il neigeait énormément ce soir-là, et nos doigts de pieds étaient gelés. Pour certains, c’était l’occasion de tirer un trait sur la vie estudiantine. Pour d’autres, comme moi, c’était le début d’une nouvelle aventure. Avec quelques camarades, malgré la distance qui nous séparait, nous avons continué à communiquer par Skype, par e-mail et via les réseaux sociaux comme LinkedIn.

Nous nous tenions au courant de nos avancées respectives.

Certains, comme vous peut-être, se sont directement lancés en freelance.

D’autres ont été recrutés suite à leur stage.

Tout le monde faisait son petit bonhomme de chemin.

Tout le monde, enfin presque. Il y a des visages qui ont complètement disparu de la circulation. On les a complètement oubliés.

Je vais vous donner un conseil qui va vous permettre de faire bouillir la marmite l’hiver prochain. Cultivez le lien avec vos anciens camarades de classe et vos professeurs. Envoyez-leur un mail de temps en temps pour leur donner des nouvelles et demandez-leur comment ils vont. Mettez à jour vos comptes sociaux. Publiez des nouvelles de temps à autres. C’est ainsi que vous allez développer votre réseau dès le début de votre carrière freelance.

Forcément à un moment ou un autre, quand une mission correspondra à votre profil, on pensera à vous.

Conseil numéro 2 : Visez l’efficacité dans toutes vos initiatives

Lorsque vous envoyez vos CV, vous avez probablement vécu le syndrome du « mur ». Je m’explique. Trouver des clients en traduction, c’est comme courir tranquille son marathon, et se retrouver au 30e kilomètre complètement anéanti. Vous envoyez des dizaines et des dizaines de lettres, et puis un jour, vous vous prenez un coup de matraque en pleine tête. Le énième refus passe mal. Très mal.

Détendez-vous. Dans le difficile métier de traducteur, vous allez apprendre à être efficace dans tous vos faits et gestes. Vous appliquerez bientôt la méthode du 20-80 comme un pro : 20 % de vos efforts produisent 80 % de résultats (cela s’appelle la loi de Pareto).

Explication de la loi de Pareto

N’y allez pas par quatre chemins : contactez dans un premier temps les plus grosses machines de la traduction. Elles recrutent tout au long de l’année et vous avez une chance de vous intégrer dans leur pool de ressources si vous réussissez à passer le test de sélection.

Ces sociétés de traduction recherchent des personnes motivées, flexibles, sérieuses et pas trop chères, des atouts que vous pouvez offrir en tant que traducteurs junior.

Oui d’accord, mais où les trouver ?

Ah oui, il suffisait de me demander : voici l’outil BlueBoard de Proz, qui recense l’essentiel des agences de traduction du monde entier. A vous de les contacter.

Conseil numéro 3 : Trouvez la niche de votre métier de traducteur

Je suis désolée, mais avoir un diplôme en traduction pour devenir traducteur ne suffit pas pour espérer avoir des clients. Essayer de trouver du travail dans la traduction avec comme seul argument un diplôme de traduction en poche, c’est comme proposer des services de babysitting parce que vous avez gardé votre cousin un soir d’été en 2016.

 Pourquoi ça ne suffit pas ?

Déjà, de nombreuses agences de traduction sont certifiées : elles ne peuvent accepter que les traducteurs qui ont un minimum d’expérience ou qui justifient par exemple d’une formation continue. (Certification ISO 17100 :2015, par exemple)

Soyons réalistes : pourquoi irait-on faire confiance à un traducteur sans expérience alors que de nombreux traducteurs expérimentés se bousculent au portillon ?

La qualité devient un facteur de différentiation : pour se démarquer, de nombreuses agences comprennent de plus en plus qu’il faut viser la meilleure qualité. Et c’est là que vous allez avoir votre rôle à jouer.

Lorsque l’on débute en tant que traducteur, on ne nous apprend pas forcément à nous vendre, ni à nous distinguer des autres traducteurs. C’est un fait. Alors, même si il y a beaucoup de travail, le plus difficile pour vous est de trouver des clients réguliers et qui vous rémunèrent à un tarif correct. Dans cette optique, pas le choix que de vous démarquer : vous devez proposer de la valeur à votre client potentiel. Vous allez trouver votre niche, c’est-à-dire votre spécialisation.

Vous allez vous spécialiser dans un domaine bien particulier (et si vous écrivez sur votre CV que vous êtes spécialiste dans dix domaines, les agences vous riront au nez).

Dans un couple de langues un peu plus rare que l’anglais-français.

Ou un service que les traducteurs senior maudissent (la transcription ou l’alignement de TM, par exemple).

Maintenant, au lieu d’envoyer votre CV bateau à une agence, montrez-lui de quoi vous êtes capable. Indiquez ce qui fait votre spécificité, et pourquoi elle devrait faire appel à vous et pas à un autre.

Si on vous rétorque que vous n’avez pas d’expérience, brodez un peu : pendant un stage de guide, vous avez peut-être traduit des brochures ou le site Web de l’entreprise. Comptez votre stage de fin d’étude dans vos mois d’expérience. Traduisez quelques documents à titre bénévole et aidez des connaissances à rédiger leur CV en anglais. Bientôt vous les aurez vos (fichues) deux années d’expérience.

Et si jamais vous n’avez pas encore assez d’expérience à justifier sur le papier, et que votre interlocuteur est têtu comme un Breton, alors dégainez l’échantillon de la mort.

Et pourquoi pas commencer à apprendre à négocier comme Tim Ferris (Que dois-je faire pour que vous acceptiez de faire un essai avec moi ? Ne faites-vous jamais d’exceptions ?) ?

Ensuite, relancez l’agence. Une fois. Deux fois. Trois fois, même. Pas de pitié. Les agences sont payées pour vous répondre (ce qui n’est pas forcément le cas avec les clients directs). Et quand vous aurez terminé la liste des grandes agences de ce monde, vous irez toquer aux portes des petites structures situées dans des contrées exotiques. Allez c’est parti pour le point suivant.

métier traducteur

Astuce numéro 4 : Votre métier de traducteur doit vous faire voyager

Quand vous prospectez, vous choisissez sûrement de contacter des agences ou des clients évidents. Vous traduisez l’anglais (je suis sûre que vous traduisez l’anglais), alors vous contactez des agences situées en Angleterre. Pourquoi pas. Il faut un début à tout.

Néanmoins, n’hésitez pas aussi à trouver des agences de traduction issues de pays plus lointains et moins courants : l’Australie, la Nouvelle-Zélande, les pays scandinaves…

Vous pouvez également trouver votre petit bonheur dans d’autres pays francophones, comme la Belgique ou la Suisse.

En clair : élargissez vos horizons.

Partez à la conquête de territoires méconnus.

Dégainez votre CV comme si vous brandissiez votre épée. Sortez des sentiers battus. Le Christophe Colomb de la traduction, c’est vous.

En revanche, je tenais à vous mettre sur vos gardes : assurez-vous toujours de vérifier le sérieux de l’agence si c’est la première fois que vous travaillez avec elle. Pour cela, l’outil du BlueBoard de Proz est un allié de taille. C’est une base de données des agences de traduction du monde entier qui note les mauvais et les bons payeurs. Alors, avant de travailler avec une nouvelle agence, il suffit de jeter un œil à ce répertoire.

Mais contrairement aux agences, les traducteurs sont des complices, des partenaires, vos alliés. C’est ce qu’on va voir juste après.

Conseil numéro 5 : Les traducteurs sont tous amis

C’est le quart d’heure gentil de l’article.

Au départ, je pensais que les autres traducteurs étaient des concurrents : nous offrons les mêmes services, donc c’est logique.

Mais résonner en ces termes n’apporte rien : vous devez voir vos pairs comme des partenaires.

Pourquoi ?

Il y a énormément de demande par rapport à l’offre, et vous n’avez pas à vous inquiéter : personne n’ira piquer votre travail si vous le faites bien.

Un jour, je me suis lancée : j’ai créé ma SARL de traduction. Pendant deux ans, je me suis mise de l’autre côté du miroir : j’avais des clients qui me demandaient des traductions dans toutes les langues. Et bien vous n’allez peut-être pas le croire, mais trouver des traducteurs fiables, disponibles et qui répondent au téléphone, ça ne court pas les rues !

En plus, en coopérant avec vos amis traducteurs, vous allez développer votre réseau. Et vos collègues penseront à vous dès qu’ils ne pourront pas répondre à une offre.

Donc un conseil : voyez vos concurrents comme des amis et non des ennemis. Ne vous enfermez pas dans votre Tour d’ivoire. Un entrepreneur seul, c’est une personne seule. Et ça fait pas rêver.

Conseil numéro 6 : N’attendez pas pour développer vos compétences

En école de traduction, on n’apprend pas le métier d’entrepreneur, mais le métier de traducteur. Or, lorsqu’on se lance en freelance, il y a des bases en marketing à apprendre au risque de multiplier les faux-pas.

Vous pouvez également lire des livres sur le sujet qui vous aideront à créer une stratégie entrepreneuriale béton.

Ce qui vous manque également, c’est un bagage linguistique et stylistique qui marque les esprits. Quand on est traducteur, le plus efficace pour gagner des clients et bien gagner sa vie est de fournir un travail de qualité. Croyez-moi sur parole : cherchez à devenir le meilleur, et vous réussirez forcément dans le métier de traducteur. Pour cela, améliorez-vous à l’écrit dès que vous le pouvez.

Voici une vidéo d’une collègue traductrice qui explique le quotidien de son métier de traducteur :

Métier traducteur

Métier de traducteur : Lisez au moins trente minutes par jour

Notez les mots de vocabulaire ou les tournures de phrases que vous trouvez agréables sur un carnet que vous aurez toujours sur vous.

Relisez vos notes de temps en temps pour les réutiliser plus tard dans vos traductions.

Suivez des formations pour vous améliorer au fil du temps, que ce soit sur des blogs, des MOOC (cours gratuits sur des thèmes particuliers), LinkedIn Premium, PROZ, etc. Vous avez l’embarras du choix.

Les formations numériques prennent de l’ampleur. Autrefois, les consommateurs ne leur faisaient pas confiance, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. En effet, nous sommes de plus en plus enclins à nous former tout au long de notre vie, car la carrière n’est plus un long fleuve tranquille. Face à ce changement de paradigme, les formations en ligne se multiplient, et vous pouvez y trouver des perles.

Inutile de retourner sur les bancs de l’école si vous souhaitez acquérir de nouvelles compétences en rédaction technique ou en création de contenus.

Faites votre shopping sur Internet et trouvez la formation qui vous correspond (et si ça vous intéresse, demandez-moi où les trouver).

Et si en dépit de vos efforts, vous continuez à cumuler les Fails aux tests de traduction, alors la partie suivante vous est dédiée.

Conseil numéro 7 : Aimez l’échec

Un matin, vous vous êtes levé de bonne humeur. Vous avez enfilé vos chaussons, vous vous êtes préparé un café. Puis vous vous êtes installé tranquillement devant votre ordinateur. Pendant le chargement de Windows, vous observez les oiseaux voler dans le ciel et vous vous dites : « Oh que la vie est belle quand même ! ». Puis, vous ouvrez votre logiciel de messagerie. Un nouveau mail non lu. Titre. « CLIENT FEEDBACK » écrit en lettres majuscules. Le client n’est pas content content. Le monde s’écroule autour de vous.

Bienvenue dans le monde très sélect des accumulateurs de FAIL.

Au départ, j’étais comme vous : je prenais les mauvais feedback personnellement. Mais ça, c’était avant.

Certes, c’est toujours désagréable de recevoir un avis négatif sur votre travail. Ceux qui prétendent le contraire sont des menteurs.

Même si le client met les formes et tourne trente-six mille fois sa langue avant de vous indiquer ce qui ne va pas, on va pas se mentir, vous avez été mauvais sur le coup.

Je vais vous confier un petit secret : des échecs aux tests, j’en ai essuyé de nombreux. Oh oui malheureux. Et encore aujourd’hui. Il n’y a pas mort d’homme. Je suis loin d’être parfaite, que Dieu m’en préserve.

Mais la différence avec hier, c’est que j’ai compris que les échecs faisaient partie du jeu, et que pour réussir il fallait forcément en passer par là.

Connaissez-vous Jack Ma ?

Comment ça, vous ne connaissez vraiment pas Jack Ma ?

Oh la la, vous passez à côté d’un gros phénomène. Laissez-moi vous le présenter.

Jack Ma n’est d’autre que le créateur du site Internet de commerce électronique Alibaba.com.

Avant de devenir l’un des hommes les plus puissants de la planète, le malheureux échouait tout ce qu’il entreprenait.

Il a raté trois fois le test d’entrée au lycée, puis deux fois celui de l’Université.

Il a été refusé dix fois au concours d’entrée à Harvard, et il a même été le seul recalé sur les 24 candidats au poste de simple préparateur de commande lorsque KFC a débarqué en Chine.

Croyez-le ou non, mais aujourd’hui, le brillant homme d’affaires est à la tête d’une fortune évaluée à plus de 40 milliards de dollars.

Qu’est-ce qu’il faut en retenir de ce parcours incroyable ?

C’est qu’échouer est une manière de grandir, de se développer. Les échecs sont des leçons de vie.

Il y a quelques mois, une amie à moi a voulu rénover son appartement. Comme il y avait des murs porteurs à abattre, elle est passée par un maître d’œuvre. Bilan des courses : l’escroc lui a facturé des sommes astronomiques et n’a plus donné signe de vie. Grosse arnaque. Eh bien, ma pauvre amie a appris que pour être prise, il fallait être prise.

À moins d’être un génie, quand vous débutez (ou que vous progressez vers des contrats plus complexes), vous vous frottez à la vraie vie. Celle dans laquelle des gens paient pour du travail, et se plaignent quand ils ne sont pas contents.

C’est normal, vous allez apprendre pendant plusieurs années à vous améliorer. Abandonner serait donc le pire des échecs. Vous devez persévérer coûte que coûte. Le secret, c’est d’avoir confiance en votre projet. Vos compétences en traduction ne reflètent pas qui vous êtes : vous devez aussi vous détacher personnellement de votre « métier de traducteur ».

Vos traductions ne sont pas vous. Et quand on vous refuse à un test de traduction, ce n’est pas vous qu’on éjecte, c’est votre texte. Apprenez à faire la part des choses entre votre vie professionnelle et votre vie personnelle. Et continuez vos efforts. Ne tombez surtout pas dans le piège de garder les mêmes contrats peu rémunérateurs toute votre vie. C’est ce qu’on va voir maintenant.

Conseil numéro 8 : Ne lâchez pas votre marketing

C’est bien connu dans le monde de l’entrepreneuriat, plus vous prospectez, plus vous avez des chances de trouver de nouveaux clients. En général, pour 100 candidatures envoyées, vous pouvez vous attendre à une ou deux réponses positives. C’est très peu, mais finalement, quand on fait le calcul, c’est moins opaque : 100 candidatures par an, cela représente 3 candidatures par semaine si on admet que vous prenez 6 semaines de vacances par an. Et 2 clients de plus par an, ça suffit amplement pour parfaire votre portefeuille de clients. Le tout, c’est de ne rien lâcher.

Alors, un conseil dès le départ, jeune traducteur : prenez toujours du temps pour prospecter, vous améliorer et prendre soin de vous afin de fournir du travail de qualité et évoluer avec votre marché. C’est une habitude à prendre dès le départ.

Tadam ! nous sommes arrivés à la fin de cet article. Mais ce n’est pas fini. J’ai un exercice très rapide à vous proposer.

Si vous êtes traducteur débutant, écrivez en commentaire les difficultés auxquelles vous vous confrontez le plus souvent et qui vous empêchent de progresser.

Et si vous êtes traducteur confirmé, mettez-vous dans la peau d’un mentor : quels seraient les conseils que vous donneriez au jeune traducteur que vous étiez lorsque vous avez commencé votre carrière ?

À vous.

Alors, si vous souhaitez devenir un traducteur à succès, c’est à vous de jouer !

Au travail !

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À propos de l'auteur

Hello, je m'appelle Maéva, je suis traductrice freelance depuis 2010. Dans la vie, j'aime écrire, lire, travailler le piano et donner des conseils.

Commentaires

  1. Bonjour,
    Je viens de terminer votre article et vous remercie pour toutes ces informations.
    Je voulais savoir s’il était possible de débuter le métier de traducteur avec des certificats en langues etrangères, une longue expérience en relation client et une formation intensive d’un an plus une spécialisation mais dans un centre privé, je veux dire en dehors du cursus universitaire habituel.
    Merci d’avance !

  2. Bonjour,
    Je suis ravi par votre article, cela va m’être précieux pour mes débuts de traducteur.
    L’analyse est précise et à la fois complète.
    Des techniques marketing au savoir être en tant que traducteur freelance sont un vrai plus pour moi !
    Je vous remercie grandement pour cette précieuse aide, et je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles de mes débuts, si vous daignez me l’autorisez.

    Merci encore.
    L.

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